Conférence de presse au Chievo !

LEWIS WILDIG: Bonjour à tous et à toutes et bienvenue pour cette conférence de presse organisée après les 10 premiers matchs de ce championnat. Comme vous le savez surement le club n'est pas encore là où je l'espérais mais des signes positifs restent présents ce qui m'encourage à persévérer dans mon travail ici auprès de mes jeunes joueurs.

JOURNALISTE: Coach, comme vous le dites un début de saison assez moyen pour le club. Quelles en sont les raisons selon vous?

LEWIS WILDIG: C'est difficile à dire c'est certain que la jeunesse de certains joueurs peut-être un frein mais l'équipe possède aussi pas mal d’expérience et je m'attendais à nous voir dépasser la barre des 12 points personnellement. Bien sur qu'être dans le bas du classement induit une certaine pression mais je ne veux pas pour autant sacrifier le projet de reconstruction qui est en marche et jeter le travail effectué lors du dernier mercato. La défense semble bien en place ce qui est important mais devant tous les automatismes ne sont pas encore là ce qui reste logique vu le nombre de mouvements lors du dernier été.

JOURNALISTE: Beaucoup de choses intéressantes. Revenons d'abord sur le mercato. En dehors de Basa qui est un joueur déjà confirmé vous avez acheté fort jeune. Une volonté du club?

LEWIS WILDIG: Effectivement c'est une volonté du club de repartir avec un groupe plus jeune. Beaucoup de joueurs de l'équipe approchent de la retraite et il faut songer à l'avenir. Le défaut est que ces jeunes ont besoin de temps pour être prêt et doivent jouer pour s'améliorer mais à long terme nous avons la certitude d'en sortir gagnant. D'ailleurs nous avons conclu ce matin un accord avec le Torino pour prolonger le prêt de Parigini d'une année supplémentaire.

JOURNALISTE: Tactiquement il y a eu pas mal de changements mais rien ne semble faire la différence sur le terrain. Avez-vous une équipe en tête?

LEWIS WILDIG: C'est vrai que nous tâtonnons encore comme vous l'avez vu nous sommes passés à 4 derrière lors du dernier match. Dans cette configuration le poste de latéral droit n'est pas comblé donc il n'est pas certain que nous allons continuer. Je compte m'entretenir avec mon adjoint sur ce point avant le prochain match à Crotone qui sera capital face à un promu qui a bien débuté sa saison.

JOURNALISTE: Les objectifs du clubs vont-ils changer?

LEWIS WILDIG: Les objectifs officiels sont connus et pour moi ils sont réalisables.La douzième place reste assez proche de nous et l'équipe peut y arriver. Pour le reste comme je l'ai dis le club se ré-invente une ADN avec des jeunes et nous allons continuer sur cette lancée avec la formation et l'achat de jeunes promesses qu'il faudra bien encadrer pour se rapprocher des sommets années après années.

Merci à vous.

LEWIS WILDIG: Bienvenue à tous, je suis ici devant vous pour faire lle point sur ce qui est finalement une bonne demi-saison pour le club. Je vous écoute

JOURNALISTE: Bonjour monsieur Wildig, comme vous le dites une bonne demi-saison avec cette 4eme place. Pensez-vous avoir enfin trouvé de la stabilité avec deux systèmes interchangeables en fonction de l'adversaire et qui semblent marcher?

LEWIS WILDIG: C'est vrai que nous avons là deux tactiques qui pour pour l'instant nous permettent de prendre des points. Avec ces deux systèmes on peut s'adapter à l'adversaire avec un jeu assez pragmatique c'est certain mais pour moi ce qui fait vraiment la différence c'est l'intensité qu'on place dans notre pressing. On a eu un peu de mal à digérer une préparation que j'ai voulue difficile afin de pouvoir mettre en place ce jeu mais maintenant que c'est fait je dois dire que je suis un coach satisfait. Chaque joueur fait les efforts pour son copain et ça fait plaisir à voir que ce soit dans le chef des plus vieux comme des plus jeunes.

JOURNALISTE: Justement les jeunes commencent à pointer le bout de leur nez avec de belles performances de Maurice ou Parigini par exemple. Pensez-vous continuer à leur faire confiance malgré le bon classement du club?

LEWIS WILDIG: Justement si on est là où on en est c'est aussi grâce à nos jeunes joueurs donc pourquoi ne plus leur faire confiance? Tous les jeunes du clubs bossent bien et je ne désespère pas d'encore attirer des jeunes que ce soit au mercato ou par le biais de la formation du club qui s'améliore tous les jours depuis mon arrivée. Rajeunir les cadres était un des objectifs importants que les dirigeants m'avaient fixés et c'est aussi une des raisons de ma signature ici. J'aime bosser avec des jeunes et on voit que bien encadrés ils sont capables de prester à haut niveau.

JOURNALISTE:  Un petit mot sur le mercato qui s'amorce?

LEWIS WILDIG: Oui, on l’entame sans pression. On a su rapidement régler 2 dossiers prioritaires et ce avant le mercato. A savoir que Parigini sera encore un an de plus au Chievo ce qui est positif pour tout le monde je pense. C'est un joueur que j'espère garder longtemps car il a de grandes qualités. Ensuite on a rapidement su trouver un remplaçant à Sorrentino entre les cages. Notre gardien nous a beaucoup apporté mais il prend sa retraite en fin de saison et avoir le jeune Scuffet pour 1 petit million c'est un cadeau. Pour la suite du mercato nous sommes à la recherche de deux jeunes arrières latéraux. Coté gauche j'espère attirer Keita et à droite j'ai plusieurs pistes mais il se pourrait que ça doive attendre la fin du mercato pour se débloquer. Rayon départ tout est annoncé et pour l'instant seul Inglese à trouvé un nouveau club avec un prêt du coté d'Angers avec une option d'achat à 2,5M.

JOURNALISTE: Quel est donc l'objectif du club pour cette fin de saison?

LEWIS WILDIG: Rien n'a changé du coté des dirigeants mais à titre personnel je caresse l'espoir de qualifier le club pour la post saison ce qui serait un petit exploit réalisé par les joueurs. Si on bosse dur on peut y arriver mais je préviens que nous ne renierons pas nos principes pour y arriver. Si on doit mourir se sera avec nos idées.

JOURNALISTE: Coach on peut le dire maintenant, ne pas se qualifier pour les P-O serait un échec !

LEWIS WILDIG: Un échec non mais bien une déception. On ne peut pas parler d'échec en cas de non-qualification alors que personne n'aurait mis un euro sur notre qualification en Plays-Offs au début de saison. Mais c'est sur qu'après avoir pendant de longues semaines fait partie du top 8 ne pas y être au décompte final se serait dommage. On doit aussi gérer l'absence importante d'Azmoun qui est un point de repère en attaque et sur qui on peut toujours s'appuyer. Le jeune Hunnemeier fait de son mieux à un poste qui n'est pas le sien mais il nous manque un vrai 9 complet comme peut l'être l'iranien.

JOURNALISTE: Justement cette politique jeune ne va-t-elle pas vous jouer des tours dans la qualification?

LEWIS WILDIG: On manque d'expérience peut-être mais nos jeunes sont bien encadrés aussi avec des gars comme Castro, Radovanovic ou nos trois défenseurs centraux. Et si cette politique jeune nous prive de la qualification lors de cette saison c'est le meilleur moyen de l'obtenir à moindre coup dans le futur. Je vois les jeunes se développer de semaine en semaine et s'améliorer. Un garçon comme Bastien a montré beaucoup de belles choses cette saison et s'il est au repos pour l'instant je le sens de plus en plus prêt à en découdre.

JOURNALISTE: Vous pensez déjà à votre mercato?

LEWIS WILDIG: On essaye toujours d'anticiper vous savez. J'ai plusieurs pistes notamment au milieu de terrain et en défense avec des joueurs sans clubs et d'autres inutilisés. On cherche aussi a réaliser un gros coup pour marquer nos ambitions. Des noms auraient filtrés ces dernières semaines mais ce n'est que des pistes parmi beaucoup d'autres et le joueur que je vise en priorité est resté secret jusqu'à présent c'est déjà ça.

JOURNALISTE: Silvio Berlusconi aurait pensé à vous après l'échec de la piste Foggia...

LEWIS WILDIG: En effet mais j'ai rapidement coupé les négociations. De même avec le président de la Lazio de Rome. Je ne me suis pas lancé dans un long projet ici dans mon ancien club pour claquer la porte avant d'avoir ramené quelque chose dans l'armoire à trophées.

JOURNALISTE: Vous êtes un des rares coachs à adapter votre système à l'adversaire. Pourquoi cela?

LEWIS WILDIG: Les gamins sont bons mais pas encore au point d'imposer leur jeu à chaque adversaire. J'essaye donc de les aider au maximum à se débarrasser des difficultés posées par nos adversaires en adaptant mon système dès que je le peux. De toute façon dans le foot moderne savoir gérer plusieurs systèmes est important si on veut aller loin.

JOURNALISTE: Bonjours coach, une excellente saison pour vous et le club qui se hisse à la quatrième place, quel est votre avis sur cette saison?

LEWIS WILDIG: Une saison surprenante à certains égards, moins à d'autres. Certaines équipes n'ont pas tenu leur rang et d'autres comme nous, la Samp ou Cagliari avons su en profiter. On a réalisé une superbe saison mais j'ai tout de même quelques regrets parce qu'on n'est pas passés loin de la Champions League ni d'un deuxième tour lors des plays-offs avec cette défaite en toute fin de prolongation dans un premier tour qu'on avait dominé face à une belle équipe de Rennes. Mais dans le fond vu la jeunesse de l'équipe c'est encourageant.

JOURNALISTE: Jeunesse, le mot est lâché, est-ce le maître mot de votre philosophie?

LEWIS WILDIG: J'aime travailler avec des jeunes c'est sur mais le maître mot reste victoire. Y arriver avec des jeunes c'est un plus mais il ne faut pas oublier que l'on ne gagne pas sans quelques gars d'expérience pour tenir la baraque et faire avancer ces jeunes. Mais des jeunes qui progressent c'est bien sur positif et on va continuer d'investir dans cette jeunesse.

JOURNALISTE: On doit donc s'attendre à voir de nouveaux jeunes débarquer à Vérone?

LEWIS WILDIG: Oui, Tielemans et Michelin vont nous rejoindre. Déjà voir un Tielemans rejoindre notre club c'est la preuve que l'on travaille bien et que les meilleurs jeunes d'Europe font confiance au club pour progresser encore plus et devenir d'excellents joueurs. Michelin c'est lui un plus car le poste d'arrière droit posait problème et l'on récupère un des joueurs les plus prometteurs d'Europe à ce poste. On a aussi récupéré 2 jeunes de Monaco avec Denis Almeida et Gil Dias qui avaient étés laissés libres. La petite déception de ce début de mercato c'est d'avoir raté l'opportunité de recruté le nantais Harit mais on a déjà de très bons joueurs à son poste. On va aussi investir dans la formation avec je l'espère un centre de formation ultra-moderne en fin de saison.

JOURNALISTE: Tout cela fait beaucoup de dépenses. Il va falloir faire rentrer de l'argent aussi.

LEWIS WILDIG: De fait ça semble être important de ne pas négliger cet aspect là des choses. Plusieurs joueurs sont sur le départ et des accords semblent se dessiner pour plusieurs d'entre eux et je compte aussi sur les primes données par la Ligue mais aussi l'UEFA. C'est assez spéculatoire mais je pense pouvoir m'avancer et plus ou moins estimer nos recette autour des 25M rien qu'avec les primes.

JOURNALITE: Très bien, on a vu une vague de changements de coachs cet été et alors que vous êtes l'un des hommes les plus réputés pour ce job vous n'avez postulé nulle part, pourquoi cela?

LEWIS WILDIG: J'ai commencé quelque chose ici et il y a chez moi la volonté de rester longtemps pour faire quelque chose. Alors bien sur si la Juventus sonne à ma porte il sera difficile de refuser mais dans l'état actuel des choses le seul objectif est d'aider le Chievo à grandir et rendre au club ce qu'il m'a donné en lui apportant un trophée. Le club de Vérone possède, au jour d'aujourd'hui, des qualités rares dans le monde du football et je ne suis pas encore prêt à partir.

JOURNALISTE: Vous avez tendance à vous adapter mais sembler recruter et tenter de vendre pour vous orienter vers un système prédéfini.

LEWIS WILDIG: Oui peut-être. Pour être franc je n'en sais rien. Je garde ce même objectif que l'an dernier, à savoir faire progresser un maximum chaque joueur tout en obtenant des résultats. On a eu des résultats en 3-4-3 et en 5-3-2 pendant la saison dernière mais en fin de championnat on a réalisé de superbes match en 4-1-2-1-2 resserré comme on l'appelle. La flexibilité reste quand même un point fort et chaque recrue va dans ce sens. L'avantage quand l'adversaire ne sait pas à l'avance comment on va évoluer c'est qu'il ne peut pas s'adapter et j'aimerais garder cet avantage autant que possible.

JOURNALISTE: Une dernière question, où pensez-vous être dans 12 mois?

LEWIS WILDIG: Personnellement à Vérone et pour ce qui est de l'équipe j'aimerais qu'elle continue à avancer sur le même chemin qui me semble être le bon. Viser une nouvelle qualification en plays-offs et réussir une belle campagne en Europa League me semblent deux objectifs atteignables

LEWIS WILDIG: Bonjour à tous et à toutes et merci d'être venu à cette modeste conférence de presse. La saison n'est pas géniale mais je suis toujours là et à l'écoute de vos questions.

JOURNALISTE: Bonjour coach, comme vous le dites une saison en demi-teinte malgré de grands espoirs, à qui la faute?

LEWIS WILDIG: Qui je ne sais pas mais ce que je peux diagnostiquer c'est les quelques soucis dont à souffert l'équipe. Je ne veux pas me cacher derrière les blessures mais force est de constater qu'on en a eu pas mal parmi nos joueurs offensifs et que les remplaçants n'ont pas su se montrer à la hauteur tout du moins au niveau de l'efficacité. En ce qui concerne le reste je ne m'inquiète pas le niveau de jeu est très bon il manque juste de la précision dans les deux rectangles.

JOURNALISTE: Est-ce dû à la jeunesse de votre groupe?

LEWIS WILDIG: Peut-être mais je ne le pense pas. C'est avant tout une question d'état d'esprit et l'âge n'entre pas en compte là-dedans. Il faut en vouloir plus que l'adversaire. Quand tu shoote au but c'est pas juste pour tirer c'est pour marquer, quand tu défends l'adversaire ne peut pas passer c'est aussi simple que ça

JOURNALISTE: Changeons de sujet et parlons de Tielemans...

LEWIS WILDIG: Youri espérait passer un cap en signant ici et il est en train de le passer. Il est très heureux et se rend bien compte qu'avant d'aller voir plus haut il a tout intérêt à faire 2-3 saison tranquillement à Vérone. Il s'épanouit en tant que leader technique de l'équipe et a déjà montré de superbes choses. C'est aussi un garçon intelligent qui sait qu'on n'est au final pas si loin que ça de l'objectif de début de saison qui était d'accrocher les plays-offs

JOURNALISTE: Vous n'y êtes pas pour l'instant et le mercato est assez calme. Des explications?

LEWIS WILDIG: Je ne vais pas tout changer sous prétexte qu'on a manqué de réussite quand même? Je pense que depuis le début de saison on n'a pas pu faire 5 matchs au complet. Alors ce mercato n'est que de petites retouches et quelques départs comme prévu. On a déjà pu attirer 3 bons jeunes et nous avons entre 1 et 3 garçons qui sont bientôt prêts à faire le pas vers le monde pro dans le centre de formation. Pas d’inquiétude de ce coté selon moi.

JOURNALISTE: Faut-il prévoir encore quelques mouvement tout de même?

LEWIS WILDIG: 2 joueurs vont partir et j'espère signer encore 2 recrues au minimum. Faudra aussi voir les propositions et les possibilités que nous aurons il reste une semaine tout peut arriver encore

JOURNALISTE : Coach, quel regard portez vous sur cette saison?

LEWIS WILDIG : J'ai un sentiment assez bizarre au terme de cette campagne... On a montré de très belles choses par moment notamment en fin de saison avec de belles victoires face à la Samp et à la Roma mais on a manqué de régularité ce qui nous coûte cher au décompte final. Certes le club finit 14e mais je pense qu'on a manqué de réussite cette année avec des nuls et des défaites pas forcément mérités en plus du nombre assez élevé de blessures.

JOURNALISTE : Vous posez ici un premier diagnostic, comment comptez-vous y remédier?

LEWIS WILDIG : Si c'est du nombre de blessés que vous parlez la solution semble assez évidente, augmenter la profondeur de l'effectif. Sur cette saison j'ai pu tester tout le monde et je sais donc sur quels secteurs axer mon recrutement. La priorité sera un attaquant car Manaj et Dias ne m'ont pas convaincu au relais d'Azmoun. Je cherche un attaquant dans le style de l'iranien,assez complet et capable de jouer seul devant. Pour l'instant je n'ai pas de réelle piste.

JOURNALISTE : Vous nous avez habitués à des mercatos assez conséquents, du changement en perspective?

LEWIS WILDIG : Franchement je prends ce qu'on me donne. Si on a de nouveau la possibilité de faire quelques bons coups on ne va clairement pas se priver de les faire. Tout cela dépendra plus des autres managers que de moi-même. Personnellement je sais où je veux en venir et qui peut partir, j'imagine que dans les autres clubs la donne est la même donc je reste calme et j'attends de voir comment les choses vont se dérouler. Si demain on me propose Messi pour 10M je vais pas dire non même si c'était pas prévu.

JOURNALISTE : Et niveau objectifs à quoi peut-on s'attendre pour l'année prochaine?

LEWIS WILDIG : C'est la question ça. On a pu voir cette année de belles surprises et quelques clubs dont le notre rater leur saison pour différentes raisons. De plus la Série A est un championnat excessivement compétitif donc dire aujourd'hui je suis sur d'être en play-offs ça me semble compliqué. Bien sur il y aura la volonté d'aller se classer dans le top 8 mais ce que je veux voir en priorité c'est une évolution constante. Une maison ça ne se bâtit pas en un jour et pour l'instant on n'en est qu'aux fondations donc doucement allons-y pas à pas et dans quelques années si l'on garde un bon modèle de gestion on posera la dernière pierre

JOURNALISTE : Vous parlez de long terme mais votre nom semble de plus en plus cités dans les coulisses du Juventus Stadium. Qu'est ce qu'il faut en penser?

LEWIS WILDIG : Que pour l'instant je suis le coach de Vérone. Bien évidemment que l’intérêt d'un club comme la Juventus c'est flatteur et si les dirigeants me proposent un contrat je serais fier. C'est aussi la preuve que je fais du bon boulot actuellement donc tout cela est à penser si ça arrive. Je me plais beaucoup à Vérone et si je ne cache pas qu’entraîner la Juve fait partie de mes rêves je sais aussi que j'ai un beau projet ici et comme vous l'avez dit c'est du long terme. Dans tous les cas ma décision n'est pas arrêtée et la Juve ne m'a toujours pas proposé de contrat donc il n'est pas encore temps de prendre cette décision que je ne devrais peut-être jamais prendre.